Le manteau d’Aromaiterai de Papara, est décrit dans les mémoires d’Arii Taimai
Tianina, la terre natale d’Aromaiterai près de la maison du chef est aussi familière aux habitants de Papara que leur propre visage.
Son moua, Tearatapu, et son Temaite ou Temarua, le versant de la montagne, sont encore pour les gens de Papara une beauté de chaque jour.
Sur la route conduisant à Vaiari, à trois ou quatre mille pieds au-dessus, sur la pente de la montagne lointaine qui se dessine contre le ciel, la ligne d’arbres épars que l’on appelle le troupeau de porcs d’Aromaiterai, son Tiaapuaa, sur le moua rahi, la grande montagne.
De longs fils blancs, d’une centaine de pieds en pente perpendiculaire, marquent les cascades sur le flanc vert -le pari– de la montagne. La rosée ou les averses s’accumulent le matin sur les sommets des montagnes et étendent le nuage le manteau d’Aromaiterai qui les cache à sa vue.
Sources :
ADAMS Henry, Mémoires d’Arii Taimai p 28